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RÉSUMÉ LA MACÉDOINE DANS LA POLITIQUE FRANçAISE DANS LES BALKANS (1944-1957)

Dans la présente oeuvre, on a essayé à étudier la position et l'attitude de la France envers la Macédoine et le peuple macédonien par l'intermédiaire de l'entrelacement de rapports et d'intérêts des pays balkaniques voisins et de leurs appétits conquérants et de leurs prétentions territoriales envers le territoire macédonien au passé et, malheureusement jusqu' à nos jours. En principe, la documentation officielle française suit d'une manière objective le droit et les aspirations du peuple macédonien pour créer son propre État, par la propre lutte de libération nationale dirigée aussi contre ses asservisseurs concrets et contre les propagandes étrangères et l'activité armée de ses voisins balkaniques qui suffoquaient les aspirations de libération nationale du peuple macédonien avec le seul but: de s'emparer de son territoire et du peuple, en niant de cette manière l'originalité nationale macédoniene.

Dans l'oeuvre, on suit l'influence et l'intérêt de la France pour la Macédoine et plus amplement pour les Balkans, au cours de diverses phases tandis que l'influence plus intense, plus accentuée soit présente vers la fin du dix-neuvième et au cours du vingtième siècle. Dans la présente étude, à l'aide de consciences françaises approfondies, on expose le role de la France dans la réalisation des droits nationaux des Macédoniens et la création de leur Etat, après, on élabore différents problèmes d'intérêt vital pour la Macédoine et le peuple macédonien. Ce qui est surtout important, c'est que la France a accepté la réalité et a traité la Macédoine et le peuple macédonien comme une unité. Dans la documentation, on traite toutes les trois parties da la Macédoine divisée mais cette unité est présente non seulement du point de vue géographique mais aussi national, économique et culturel.

A coté des aspirations du peuple macédonien pour sa libération nationale et la création de son propre Etat autonome, dans la documerntation officielle française, on suit minutieusement et on accentue la particularité nationale des Macédoniens depuit la moitié du XIXème siècle, en désignant la population en Macédoine comme nation particulière qui - d'après ses caractéristiques nationales, la langue - le macédonien, le territoire - la Macédoine, les traditions, les coutumes et autres indices qui caractérisent une nation particulière, séparée, diffère de ses voisins: "les Macédoniens ont décidé de différer de ses voisins et il est même absurde de prétendre - comme le font Sofia et Belgrade - que la Macédoine soit bulgare ou que la Macédoine soit serbe", tandis en ce qui concerne l'appartenance nationale, on accentue que "si vous demandez à un Macédonien ce qu'il en pense, il répondra toujours qu' il est Macédonien et qu'il souhaite la création d'une Macédoine indépendante, simplement parce qu'il y voit la solution et le mode de la libération de la tyrannie policière des autorités turques, serbes et bulgares et c'est pourquoi, cette solution est la meilleure pour mettre fin aux aspirations et aux antagonismes des Etats voisins envers la Macédoine..." [1]

La présente étude, consacrée à la Macédoine dans la politique française dans les Balkans dans la période sus-mentionnée est composée de quatre chapîtres dans lesquels sont élaborées plusieures questions de divers aspects, surtout la particularité nationale macédonienne et la création du propre Etat macédonien, la situation sociale-économique et politique du peuple macédonien dans les pays voisins, la situation des droits nationaux, culturels et autres droits civils et des libertés et le degré de leur application en Bulgarie, en Grèce, en Yougoslavie et en Albanie, les changements ethniques et l'émigration d'une partie de la population macédonienne comme conséquence de la situation socio-économique, de l'absence des droits nationaux, de la situation militaire-politique, des persésutions de la police et des représailles des autorités envers le peuple macédonien dans les pays balkaniques voisins.

Dans le deuxième chapître, on prête une attention spéciale à la Macédoine et au peuple macédonien des trois parties de la Macédoine, comme question discutée à la Conférence de la Paix à Paris en 1946. On y analyse de plusieurs aspects les obstacles pour la réalisation des droits nationaux des Macédoniens en Macédoine de Pirine, d'Egée et de Vardar, ou plus exactement la République Populaire de la Macédoine. Parmi les motifs de la réalisation manquée des aspirations pour l'unité et la liberté du peuple macédonien de la partie pirinienne et égéenne de la Macédoine, à coté de toutes ses omissions, comme très importants, on accentue et on analyse les facteurs négatifs principaux: les actions de propagande et les activités conquérantes armées des Etats voisins contre la Macédoine et ce qui est le plus important, à la différence de ses voisins balkaniques, au passé, pas une des Grandes Puissances n'appuyait la Macédoine et le peuple macédonien. Peut-être, d'un certain aspect, c'est la France qui fait un pas en avant, en exposant directement après la Première guerre mondiale ses visions relatives à la formation d'un Etat macédonien sur le territoire entre la Bulgarie, la Grèce, la Serbie et le nouveau-crée Etat albanais, avec la justification qu'il s'agit d'une condition indispensable pour établir la paix dans ces régions balkaniques - la France considère que par la création de l'Etat macédonien, on neutraliserait les aspirations conquérantes des pays balkaniques voisins envers la Macédoine. A coté du dit document, le projet de la décision pour créer un Etat macédonien, dans la période entre les deux guerres mondiales, on présente la position des représentants français que le Royaume des Serbes, des Croates et des Slovènes (SCS) nouveau-crée doit être élargi et d'englober aussi la partie vardarienne de la Macédoine comme sujet à droits égaux, comme le sont la Croatie et la Slovénie par rapport à la Serbie.

En base de la documentation française originale, dans le troisième chapître, on prête l'attention surtout à la position de la République Populaire de la Macédoine dans la fédération yougoslave. Il s'agit de la période de la Deuxième guerre mondiale et après la fin de celle-ci quand le peuple de la partie vardarienne s'y insère activement par sa Lutte de libération nationale, en prennant parti dans la coalition anti-hitlérienne. Par sa propre lutte armée, il réussit à acquérir sa liberté nationale et à créer son propre Etat et, en base de sa propre volonté, décide d'entrer dans la fédération yougoslave nouveau-née comme son unité à droits égaux. En base des sources françaises, dans la présente oeuvre, on essaie à étudier ce fait de plusieurs aspects. Dans les analyses et dans les évaluations, on prête une attention spéciale à la question des caractéristiques du système nouveau-établi en République Populaire de la Macédoine et plus généralement en Yougoslavie.

Du point de vue politique, le role principal dans la formulation de la politique du développement économique, et dans le cadre de celui-ci, surtout de l'industrialisation du pays, appartient au Parti - le Parti Communiste de la Yougoslavie (PCY)-le Parti Communiste de la Macédoine (PCM) et à sa direction - le Bureau politique (BP) du PCY.

En Macédoine comme en Yougoslavie est réalisé le principe d'union personnele du Parti dans l'Etat, c'est-à-dire que le premier personnage du Parti (PCY) est aussi président de l'Etat. Ce fait est évidencié et accentué aussi dans la documentation officielle originale française, et étudié minutieusement dans la présente oeuvre.

On y suit et on accentue l'égalité formelle des droits de la Macédoine dans la fédération yougoslave tandis que la réalité est complètement différente. A l'aide d'une analyse critique, on suit la position tout-puissante de la centralisation de la dirigeance suprême du Parti-de l'Etat qui représente l'organe qui commande dans tous les domaines: dans les organes du pouvoir, dans l'économie, dans l'administration d'Etat, dans l'armée et dans la police, en un mot, dans la vie du pays en général. Les organes de l'Etat-du Parti de la République ne font que réaliser ou plus exactement exécuter les directives de la dirigeance suprême du Parti-d'Etat avec le Bureau Politique du Comité central du PCY à la tête et avec Yosip Broz Tito comme premier homme dans l'Etat.

Dans la présente oeuvre, on analyse d'une manière assez critique et on pose la question pourquoi au cours de toute la période après la Deuxième guerre mondiale, la Macédoine n'a pas de représentants au BP du CC du PCY. Dans la documentation officielle française, on peut suivre ce problème, élaboré d'une manière détaillée et critique. Notamment, à la différence de toutes les autres républiques de la Fédération yougoslave qui ont ses propres représentants au BP (la Slovénie y dispose de bien trois: Edvard Kardelj, Boris Kidritch et Frants Leskochek), la Macédoine n'y est pas représentée. Quelques uns mentionnent le premier personnage du Parti-d'Etat de la société macédonienne d'après-guerre Lazar Kolichévski, ce que n'est pas vrai. Il est appelé et il participe au travail du BP exclusivement quand à l'ordre de jour se trouvent les questions relatives à la Macédoine et son role est d'exécuter les directives de la dirigeance suprême du Parti - du Bureau Politique sur le terrain macédonien.

La Macédoine non seulement initie son développement économique comme unité fédérale la moins développée mais la dynamique de son développement élaborée dans le Plan quinquenal aussi ne se déroule pas selon la politique prévue. Une grande partie des investissements prévus n'a pas été réalisée et une partie d'eux est déviée vers les parties centrales de la Yougoslavie d'alors, surtout en Bosnie-Herzégovine, la Croatie et la Slovénie. C'est pourquoi le mécontentement en Macédoine est justifié et après l'Accord de Brioni en 1952, on désigne certaines moyens et on construit certaines capacités importantes mentionnées dans l'oeuvre. C'est pourquoi, en ce qui concerne l'organisation et les méthodes du travail et de l'administration dans l'Etat, les sources officielles françaises ont raison de l'appeler l'Etat du Parti, parce que tout le pouvoir dans les organes de l'Etat et dans l'économie, la police, l'armée et la vie entière du pays appartient au Parti (PCY) et à son organe suprême et de commandement - le Bureau Politique, qui représente le centre nerveux, le point dirigeant qui émet toutes les dispositions pour les dirigeances dans les républiques, surtout à celle macédonienne qui les exécute aveuglement - ou, comme on accentue dans la documentation française, fidèlement. Selon celles-ci, la Macédoine et sa dirigeance avec Lazar Kolichévski à sa tête représentait le bastion fidel et le plus fort de l'idéologie communiste crée par Yosip Broz Tito.

Au début, par la création de ses unités - communes, le système communal démontre ses grandes possibilités créatives dans le domaine de la prise directe des décisions dans l'économie et dans l'émancipation culturelle-d'instruction mais il ne pouvait pas éliminer les phénomènes négatifs d'autarchie et du point du départ inégal du développement des républiques.

Dans la vie pratique quotidienne, le système de l'autogestion ouvrière n'a pas réussi à éviter la bureaucratie mais au contraire, au cours de la première phase du développement de l'autogestion et du procès démocratique de la transformation de la société centraliste en auto-gouvernative, c'est-à-dire au cours de la décentralisation déjà, se développent et mûrissent des microdictatures depuis celles dans les républiques, dans les arrondissements jusqu' au niveau local dans les communes. De cette manière naissent des oligarchies locales qu'on entrevoit à tous les niveaux, représentés par les premiers hommes du Parti, de l'Etat, de l'économie etc.

Dans le domaine de l'économie, l'agriculture représentait la branche économique dominante parce que immédiatement après la libération, plus de 70% de la population vivait à la campagne et l'agriculture était la source principale de son existence. Peut-être, la documentation française évalue trop sévèrement et trop critiquement l'état et le développement de l'agriculture en la plaçant au niveau du XIXème siècle et on conclut que - si on ne prend pas des mesures concrètes, l'agriculture malheureusement restera primitive malgré les conditions climatiques et pédologiques propices. Comme facteurs négatifs, on énumère surtout: l'application du nouveau système des coopératives, le rachat obligatoire comme mesure forcé et surtout l'orientation des autorités de l'Etat en 1949 vers le système de collectivisme qui en pratique provoqua des conséquences catastrophiques et le declin de l'agriculture, domaine économique importante en Macédoine.

De toute façon, la Résolution du Cominform en 1948 après laquelle la Macédoine et la Yougoslavie en général subissent l'isolation totale, surtout le blocus économique-politique de l'Union Soviétique et des pays socialistes de l'Europe d'Est, se reflète dans les tendances négatives du développement économique et général de la Macédoine. Il s'agit d'une période difficile, du risque pour l'existence de la population et de l'Etat; en plus, deux annés de sécheresse et autres circonstances laissent les conséquences catastrophiques pour le développement ultérieur du pays.

Se trouvant dans la situation sans issue, en présence du blocus complet des pays orientaux, la dirigeance macédonienne ou plus exactement celle yougoslave est forcée à chercher l'assistance et l'appui des pays occidentaux avec lesquels jusqu'alors n'ont presque pas établi des rapports et des relations. D'après les analyses et les évaluations françaises, les Etats-Unis de l'Amérique et autres pays occidentaux profitent de la situation économique-sociale et politique en Macédoine et en Yougoslavie en général et y entrervoient la possibilité propice pour élaborer une stratégie complète, le but fondamental de laquele est, par l'intermédiaire de l'assistance et de l'appui économiques, d'attirer la Yougoslavie non seulement vers le bloc capitaliste de l'Occident mais aussi de la forcer de s'engager dans la formation du Pacte balkanique du février 1953. Toutes ces questions relatives à l'aide économique de l'Occident et à l'adhésion au Pacte balkanique sont analysées en détails et de manière critique dans les chapîtres spéciaux de la présente oeuvre (v. le document avec des opinions des spécialistes américains concernant la situation économique en Yougoslavie). D'après les évaluations françaises, l'aide totale des Etats-Unis de l'Amérique et des autres pays occidentaux pour la Yougoslavie - confirmée par les données officielles de Washington - se monte à 3 milliards et 408 millions de dollars d'alors depuis la fin de 1949 jusqu'au 9 juin 1955, 64% provenant des Etats-Unis, 24% de l'Angleterre et 12% de la France. Dans le cadre de cette aide et de l'appui des Etats-Unis et des pays occidentaux, à coté de la réalisation de l'idée concernant la formation du Pacte balkanique du février 1953, dans l'oeuvre on prête l'attention considérable aussi au projet du printemps 1949 sur le partage de l'Albanie entre la Yougoslavie et la Grèce, avec l'argumentation et le but fondamentaux: de supplanter l'influence russe dans les Balkans parce qu'on considérait que l'Albanie représentait la base militaire et politique soviétique et le bastion du communisme.

Un chapître special de l'oeuvre est consacré aussi à une petite étude française relative à la Macédoine de 1952. On y expose les analyses et les évaluations françaises intéressantes concernantes la Macédoine. Ainsi, dans cette relation - sans égard aux partages de la Macédoine de 1912/1913 - on traite la Macédoine comme une seule unité, non seulement du point de vue géographique, économique et culturel mais aussi d'autres aspects, en accentuant que "il s'agit d'une région parfaitement délimitée de Koumanovo jusqu'à Salonique, des montagnes Rodopes jusqu'à la frontière albanaise, suivant les vallées des rivières Vardar et Strouma jusqu' à la mer d'Egée... Les Macédoniens sont hautement affirmés par l'origine de leur langue... en 1900, à Prilep, on a trouvé un document du 20 mai 1637, écrit en pure langue macédonienne..." [2].

Dans l'étude, du point de vue français, on prête l'attention aux efforts pour le rétablissement de l'autonomie de l'Eglise orthodoxe macédonienne (EOM), abolie illégitimement en 1767, en accentuant que la décision du patriarche serbe Vikentié du mois d'avril 1957, par laquelle on permet l'usage de langue macédonienne pour le service divin et la correspondance, l'usage du scéau avec le texte "la République de Macédoine", dans les trois épiscopies: de Skopjé, d'Ochride et de Stroumitsa-Zlétovo, l'élection de dignitaires ecclésiastiques macédoniens etc., selon l'opinion française en même temps "signifie la reconnaissance formelle de l'Eglise orthodoxe macédonienne depuis 1945 et bien que l'Eglise orthodoxe serbe considerât ces décisions comme son propre succès, elle n'a pas pu empêcher la marche macédonienne vers l'autonomie. La question religieuse de l'émancipation ecclésiastique représente une question extrêmement importante pour l'histoire de la Macédoine..." [3]. A coté de l'émancipation ecclésiastique-religieuse, une place importante dans la présente oeuvre est reservée à l'intérêt de la France en ce qui concerne l'instruction, la science et la culture en Macédoine. On y accentue le développement rapide dans ce domaine, mais on expose aussi les remarques critiques françaises, surtout dans le domaine de l'instruction universitaire avec des leçons en langue maternelle macédonienne "mais les problèmes sont sérieux en ce qui concerne la qualité de l'enseignement à l'Université de Skopjé, subordonné à l'autogéstion dirigée par le Parti (PCM - r.a.)... quand il s'agît de l'élection du personnel dirigeant parmi les enseignants. L'enseignant est considéré conforme s'il est membre du Parti..." [4], sans égard à ses qualités et aux autres capacités.

En ce qui concerne le caractère et l'attitude des régimes dans les trois parties de la Macédoine: vardarienne - c'est-à-dire la République Populaire de la Macédoine -, pirinienne en Bulgarie et égéenne en Grèce, en base d'analyses approfondies de la documentation de provenance française, on prête attention à chacune d'elles dans un chapître à part, dans lequel on peint la situation et on valorise l'attitude des trois régimes d'alors. Dans l'oeuvre, on accentue la partie vardarienne, la République Populaire de la Macédoine, où - bien qu'elle soit un Etat, mais dans le cadre de la fédération yougoslave, comme son unité fédéerale à droits égaux, il n'y a pas de liberté de pensée et ceux qui pensent d'une autre manière sont proclamés opposants du régime en Yougoslavie et la plupart d'eux est envoyée dans les camps de travail forcé; on peut dire que la police politique, OZNA, qui les persécutait, peut être identifiée avec NKVD en Union Soviétique. [5]

A la différence de la Macédoine de Vardar, ou de la République Populaire de la Macédoine qui a reussi à gagner sa liberté nationale et à créer son propre Etat, après la Deuxiéme guerre mondiale, autres deux parties de la Macédoine, de Pirine et d'Egee continuent à exister dans le cadre de la Bulgarie et de la Grèce et le peuple macédonien dans ces deux pays reste opprimé, sans droits et libertés nationaux, culturels, civiles, il est persécuté, maltraité après chaque manifestation du sentiment national macédonien et de la conscience de son appartenance nationale.

Sans égard aux aspirations et aux désirs du peuple macédonien pour conquérir ses droits nationaux et la vie commune dans une Macédoine unifiée, il faut être conscient et il faut prendre en considération les circonstances internationales comme facteur important. Plus exactement, les événements après la Résolution du Kominform du juin 1948 ont laissé une profonde empreinte et le reflet très négatif dans la réalisation des aspirations du peuple macédonien pour son union et sa constitution en un Etat macédonien autonome. Ainsi, si on étudie la documentation de provenance française, yougoslave et autre, on peut apercevoir le changement important de l'attitude de la dirigeance yougoslave d'Etat-du Parti d'alors, même au cours de diverses periodes; p.ex. avant et après la signature du Pacte balkanique le 28 fevrier 1953, on peut constater non seulement l'omission complète et la mention même de la Macédoine et l'existence du peuple macédonien hors de la République Populaire de la Macédoine ou de la Yougoslavie mais surtout l'absence de l'engagement de la dirigeance macédonienne et yougoslave d'alors dans la protection de celui-ci et dans les tendances de l'unification de la Macédoine et du peuple macédonien en un seul Etat.

Du point de vue global, sans égard au degré de l'approfondissement et de la connaissance de la situation rélle et des droits nationaux du peuple macédonien dans les pays voisins par les représentants français, leurs opinions et leurs évaluations relatives à l'existence très prononcée du sentiment national macédonien s'imposent. En base de la documentation française, dans la présente oeuvre, non seulement on accentue la particularité de la Macédoine et du peuple macédonien dans les trois parties et au cours de diverses périodes mais on justifie et on appuie la lutte du peuple macédonien pour la création de son propre Etat et de son autonomie.

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Traduit du macédonien par Alenka Lapé